Villa "LEILANI" : Terres de Sam et Yannick

Yannick se dirigea vers la machine à expresso. il ouvrit et pris un petit paquet de café provenant du brésil. Il en huma l'odeur à l'ouverture. il mit le tout dans le percolateur et plaça 2 tasses en dessous. Puis il pianota sur son pocket et bientôt dans la maison une musique calme ambient se fit etendre Dubaï Chill Lounge. Très cozy très soft la musique s'égrenait.

Il apporta deux tasses fumantes ainsi qu'une petite cuillère et un peu de sucre roux non raffiné.

Il posa l'ensemble sur la table basse.


Alors Janah que reste-t-il en toi de notre nuit du début de semaine. Quels sont les impressions laissées par la montagne quand elle s'éveille à la vie?

Yannick avait posé les cafés sur la table basse, janah attrapa une cuillère et y mis du sucre.

Il lui parla de leur première nuit dans les montagnes.

Ce qu'il m'en reste, mais je n'ai rien oublié, pas une miette, c'était tellement magique, je ne peux pas oublié cette nuit.

Quand elle eu fini sa phrase, elle senti une vague d'émotion l'envahir, comme une vague de chaleur, elle se senti rougir en espérant que cela ne se voit pas.

Yannick vit comme un éclair fugace la jeune femme rougir quelque peu. Lui même devait être un peu plus rouge qu'il ne le devrait. Son coeur battait un peu plus rapidement que d'habitde. ce qu'i avait vécu là haut avec ell restait comme un de ses meilleurs souvenirs. Elle lui avait apporté le calme après la tempête. Il se redressa un peu de son fauteuil face à elle. Il prit sa tasse et la porta à ses lèvres. Dans sa têtes toutes les étapes du soleil faisant rougeoyait la montagen avant de l'embraser d'un jaune vit puis de la maculer de blanc lui revenait. il avait encore l'impressiond e sentir la jeune femme contre lui. Puis il leva son regard vers elle.

D'une vois plus douce peut-être un peu plus empreinte de sentiments il lui demanda :

Janah j'ai vécu moi aussi un instant inoubliable. Et celui-ci me ramène à ma première assencion. Le spectacle et le sentiment qui y sont liés m'ont apporté beaucoup de sérénité et si je puis me permettre je dirais grâce à vous.

Alors si cela vous dit j'aimerais partager avec vous d'autres de ces instants.

Puis il suspendit sa phrase. Pourvu qu'il ne l'ai pas pas brusquer. il se mordit légèrement la lèvre inférieur et se passa la main dans les cheveux avant de se reculer légèrement. Il nevoulait pas l'effrayer mais d'elle se dégageait un magnétisme terrible sur lui. Il aurait pour elle ce soir affretait tous ses avions pour lui faire faire un tour du monde... son coeur accéléra encore un peu plus.

Quand elle l'entendit qu'il avait passer un instant agréable grâce à elle, elle se senti un peu gêner mais aussi émue.

Bien je ne sais quoi vous dire.

Mais je serai tout de même ravi de renouveler une expérience de ce genre.

Alors n'hésitez pas à donner cours à tes envies Janah. Nous avons malheureusement tous une vue bien trop courte pour avoir le droit de s'ennuyer. j'ai toujours vécu sur ce rythme là. Ne te sens pas gênée pour moi.

Je sais que je suis peut-être un peu trop direct. Un peu trop impulsif...

J'espère tout du moins ne pas t'avoir froissé. Je vais tâcher de te faire découvrir les merveilles du monde. merveilles géographiques géologiques mais aussi des merveilles humaines.. tant sculpturales qu'humaines. Avec toi j'ai envie de le faire. Comment expliquer ça je ne le sais mais les choses sont ainsi.

Yannick se laissa aller dans son fauteuil. Imagine toi en Afrique. Dans un petit village donner la main à enfant qui vient de naitre. Voir le sourire de sa mère, ouvrir une porte et découvrir un village qui te regarde. Le soir tombe les femmes ont amené du bois et au centre du village un feu ronronne. Bientôt les hommes et les femmes de la tribu arrivent de partout et on paratge le repas. le "sorcier" raconte une légende et nous nous sommes là accroupis avec eux partageant un instant simple de vie. La chaleur les rythmes les odeurs les couleurs de l'Afrique...

Yannick tout en parlant revoit cette scène dans un village du Gabon pas loin de Lambaréné la région des lacs... Son rythme de parole c'est un peu accéléré tandis qu'il parle. Il revit ses souvenirs. Puis il s'arrêtent comme éssouflé.

Voilà ceux sont de ses souvenirs que j'ai dans ma tête que je veux faire ma maison. je veux qu'elle se teinte des couleurs du monde. Il faudra faire revivre les souvenirs...

Il s'arrêta, prit une pipe, bourra le fourneau aluma et fit son premier ron de fumée... Il observa à travers lui Janah. Pourvu qu'elle ne se sauve pas. mais cmment lui dire ce qu'il ressentait vraiment?

Elle l'écoutait attentivement, elle aimait sa franchise, une qualité qui se faisait rare de nos jours.

Elle était émerveillé par le récit de son voyage en afrique, un pays qu'elle affectionnait particulièrement mais qu'elle n'avait eu l'occasion de visiter.

Je suis flatté par ce partage d'intimité. Et je te promet de faire tout pour faire revivre tes souvenirs par la décoration.

Une multitude d'idées de bousculaient dans sa tête. Elle imaginait déjà quelques objets, tels des masques et des statues de femmes africaines.

Elle commençait à se sentir un peu fatiguée et mis sa main devant sa bouche pour cacher un léger baillement.

Je te vois fatiguée. Yannick se leva et se dirigea vers elle et il se mit à croupi. Désires-tu que je te ramène il se fait tard et je comprends que tu sois fatigué. Il lui prit la main. Attendant sa réponse.

Nan ça va aller, je devrai tenir le coup. mais je te remercie.

Yannick plongea son regard bleu dans le sien. Il était ébloui ce soir là. Elle était là devant lui. Smple si dicrète et si rassurante. Elle dégageait un magnétisme qui dopait l'énergie vitale de Yannick.

Il tint sa main serrer un moment profitant de la châleur et de la douceur de sa peau.

Puis il se redressa. Il se dirigea vers son portable. un écran blanc descendit du plafond couvrant le mur en quasi totalité. Une musique aux lentes méloppées africaines accompagnée de percussion se fit entendre.

Puis des images se mirent à défiler en fondue enchaînée :








Ce défilé d'images alternait les portraits et les paysages des souvenirs venus d'un autre temps ou la modernité croisé l'ancestral où le blanc cotoyé le noir.

Yannick raconta comment en Mauritanie on l'avait surnommé "làk-kat" qui signifie "celui qui parle une autre langue que celle de l'endroit d'où il vient". Il avait vécu quinze vies en parcourans le globe pour AoL adventures et ne s'en était pas lassé.
Pendant toute la diffusion et pendant qu'il parlait il était revenur s'asseoir à côté d'elle dans la position africaine fesses sur talons. Il lui avait repris la main qu'il caressait avec plaisir. Il paratgeait un moment de son intimié avec elle. Il était heureux et espérait lui transmettre cette passion. Peut-être partirait-il tous les deux bientôt. Ils pensaient à la tribu des femmes peintres en Afrique Australe. des femmes de la tribu Ndébélé.

Il se tourna vers elle. Se redressa un peu et déposa un baise main. Je ne t'ennuie pas Janah?

Elle regardait les images qui défilaient avec intérêt.

Ces photos sont vraiment magnifiques.

Elle senti le baise-main que lui fit Yannick, elle se senti gêné et flatté. Cet homme l'attirait, telllement charismatique, mais les sentiments qu'elle ressentait à ce moment étaient confus.

Elle le regarda.

Non tu ne m'ennuie absolument pas. Mais je vais quand même pas tarder.

Je sens bien une certaine fatigue en toi. Je te rpopose que nous nous revoyons un autre jour si le coeur t'en dit. Il se redressa et se détendit. il lui tendit la main pour l'aider à se relever.

Il se dirigèrent vers la sortie. il la raccopagna au garage par l'extérieur. Une fois devant son véhicule il déposa un baiser sur ses joues.
A très bientôt j'espère Janah

Une fois devant la voiture, elle se mit au volant. Yannick avait déposé un tendre baiser sur sa joue qui avait créer une vague de chaleur en elle.

Bien sûr qu'on se reverra.

Elle lui fit un sourir et démarra le moteur et s'en alla.

Publicité dans la boîte aux lettres:

Yannick entendit queques coups secs. Il se leva se rendit à la prte du bureau personne. puis vers la fenêtre. il vit une forme derrière les carreaux. Il se dirigea vers la fenêtre et l'ouvrit en grand attrappa l'intru par le col et le tira dans la pièce avant de l'immobiliser au sol... et il reconnut Sam.... Il explosa de rire...

Oh ma pauvre Sam je suis désolé. Il se redressa. Quel affreux goujat je fais. Pardonne moi.

Me déranger toi jamais comment veux tu me déranger tu es ici un peu comme chez toi. D'ailleurs va falloir y penser... j'ai appelé Janah pour la déco intérieur. Alors si tu me lâche je t'explique rapidement deux ou trois trucs et nous verrons pour la suite après...

Il se redressa emportant Sam avec lui accrochée à sa taille et à son col. Alors qu'en dis-tu?

Il se dirigea vers le bureau sans lla tenir avec ses bras. Il poussa une tonne de dossier en cours pour qu'elle puisse s'asseoir. Et voilà Mademoiselle Sam est assise.

Il fit le tour et retourna à son siège s'assit croisa ses jambes et la regarda. Elle avait encore ce regard espiègle qui l'avait fait chavirer dès le premier jour.

Bon dirons nous que je suis porter sur Hawaï et que je voulais transformer ma maison en un ensemble basé sur Hawaï et le culte de ce pays pour le surf et la mer... Chambre salon tout allait y passer. Mais si tu as des objections je suis partant.