Le bar - boite de nuit : Le Liberty Spirit

Je rougis un peu à son compliment et me contente de répondre d'une manière candide.

"oui, vous avez raison, merci"

Je le vois payer les consommations avant que j'ai rien ou dire. Je souris de nouveau

"merci, mais ce n'était pas la peine vous savez; Oui, je m'intéresse beaucoup à ce domaine à vrai dire, c'est sûr que si mon moteur essentiel était l'argent, je me ferais embaucher dans des multinationales cosmétiques ou industrielles"

Il haussa les epaules en tirant une nouvelle bouffée de sa cigarette

- Le mieux est de faire une chose qu'on aime, il est toujours plus agreable de travailler quand on se sent bien, avec l'equipe, les chef, et avec les gens que l'on cotoie tous les jours...

Il sourit

- je suis deja tombé sur des chieurs et ce n'est pas super

je le regarde fumer et hausser de nouveau les épaules comme une mimique récurrente Je lui rend son sourire, il était plutôt sympa

"oui, vous avez raison, je souhaite découvrir le monde du travail dans une ambiance conviviale. Vous travaillez depuis logtemps?"

*il semble avoir une expérience que je n'ai pas*

Steve reflechit un instant, apres avoir mis le feu a la demeure du type qui avait violé sa soeur, il était resté a l'hopital environ deux semaines, et avait commencé a travailler, enfin a etre formé par ron..

- Je travaille depuis environ l'age de 15 ans...

Il sourit

- je sais ça semble faire tot, mais je suis tres precoce au sujet de mon travail... j'ai des dispositions qui m'on aidé a bien demarré dans la vie

Je fais des yeux ronds lorsqu'il me dit qu'il travaille depuis qu'il a 15 ans, moi qui en ai 25, cela fait 10 ans de retard. Je me sens tout d'un coup comme une ignorante et une arrièrée

"oui, c'est vraiment jeune en effet, je peux savoir quel métier permet à de jeunes gens de travailler si tôt?"

toujours le nez dans mes bouquins ou un labo, j'étais un peu déconectée de la réalité

Il sourit en l'imaginant en rat de bibliotheque

- Disons que j'etais une sorte de... homme d'entretien, responsable d'une agence de voyage, homme a tout faire

Il sourit, il ne pouvait pas raconter comme ça ce qu'il faisait

- je vais devoir vous laisser, je prends l'avion tot demain, autre avantage de mon travail, je suis souvent en deplacement, a decouvrir le monde...

Il vida son verre d'un trait

- Je sais que ça va vous paraitre deplacé, mais avez vous un numero de portable ?

Je l'écoute essayant de m'imaginer Steve en train de faire toutes ces tâches ingrates. Prendre l'avion? une vie riche en rebondissements et en aventures, cela me faisait rêver

"bon d'accord" dis-je surprise

il me demande ensuite mon numéro de portable. J'hésite un instant, puis sort un carnet d emon sac et en déchire une feuille où je note mon numéro avant de la tendre au jeune homme en souriant.

"voilà mon numéro et je vous souhaite un bon voyage alors"

Il recupera la feuille

- Je vous appelerais a mon retour, on prendras un verre

Il se leva

- j'ai été ravis de vous rencontrer Melody

Il posa un billet sur la table

- Buvez donc un petit quelque chose a ma santé, je part au japin ! a tres bientot

Il la salua et sortit du bar, prenant un taxi vers l'aeroport

"oui, merci"

dis-je pour répondre à son affirmation. je me lève par politesse.

"moi de même Steve"

je le vois poser un billet et le voilà disparu avant que je puisse répliquer. Il m'étonnait vraiment, je le salue puis me rassois et commande un autre verre n'osant laisser le billet ni le prendre.

Un serveur emèna maloree jus qu'au propriétaire du bar. L'ex-tueur à gage se laissa guider par le serveur. Lorsqu'ils entrèrent maloree reconnue tout de suite l'homme dans uns alon luxueux. C'est maloree qui commença à parler.


Bonjour M.Le Cleac’h de Villepierre. Je suppose que vous voulez me voir à propos de la fusillade.

Oui. Bonjour.

Prenez place. Lui dit-il en désignant un fauteuil de la main.
Désirez vous prendre quelque chose pour vous rafraichir?

Maloree s'assit sur l'emplcement que le propriotaire et répondit à yannick de façon très décontractée.

Pas de boisson alcoolisé, j'en prend rarement. Si vous avez du lait ça m'arrangerait sinon une verre d'eau m'ira très bien. Mais vous ne m'avez pas fait venir juste pour m'offrir un verre, n'est ce pas?


Maloree, pornonça cette dernière question avec un léger sourire.

Maloree prit son verre de lait et en but une gorgée

Je suis vraiment navré que juanita en soit mélée, ainsi qu'une autre jeune femme, même si elles y sont indirectement par ma faute. Quant à vos caméras.

Maloree but une gorgée de lait puis reprit avec un léger sourire.

J'ai volontairement montrer mon visage sur vos caméras, car je savais que vous voudriez en savoir plus. D'ailleurs, je me demande bien pourquoi vos agents n'ont déjà pas essayé d'en savoir plus sur moi. De toute façon ils ne trouveront rien, M.Le Cleac’h de Villepierre. Et puis qunat bien même vous m'auriez balancé à la police je me suis déjà occupé de ces fonctionnaires.

L'ex-tueur s'arrêta à nouveau un instant pour répondre à la dernière question de yannick

POur ce qui est de mes motivations.... Disons que je protège quelqu'un que vous connaissait je crois, Monica O'connor.

Maloree éclata de rire suite aux dire de yannick.

Vous me rassurer vous avez quand même fait une enquête mais les seuls informations que vous avez put trouvé sur moi, sont soit éronné, soit plus d'actualité. Toutes les informations me concernant sont protégés par un mot de passe et un login que moi seul connaisse, et croyez moi, ces données ne sont pas celles que vous croyez. Donc ce n'est pas présomptueux d'être confiant et je suis bien cconscient que je suis pas infaillible tout comme vous, Yannick.

Maloree put se détendit encore plus car c'était sûr maintenant ils ne trouveraient rien, même le hackers à qui il avait demandé de pirater ses données, n'était au courant de rien.

POur les nazis, je très qui elles sont, et je tuerais la dernière pour qu'elles comprennent bien que rien ne m'arrêtera pour protéger nica. Ne vous inquiétez pas je sais très bien ce que je fais.

Le portable de maloree, vibra, il reçut un message. Il ne le regarda pas mais il se doutais de cce c'était.

Désolé, mais je dois vous laisser.

Maloree commença à partir, puis il reprit, sans se retourner.

Vous m'avez bien lorsque vous dîtes que vous pouvez me mettre à la rue en un claquement de doigts, car sachez que durant mon enfance, j'ai vécu dans les rues de dublin, donc vous pouvez me mettre à la rue, je survirais.
De plus je connais beaucoup de vos ennemis qui rêveraient vous voir morts.... Au fait, ce n'est pas une menace, car si je voulais vraiment vous faire du mal je l'aurias fait depuis des lustres...

Maloree sortit du salon puis du bar, se rendit dans sa deuxième voiture, la plus banale. Il ouvrit une malette et activa son dispositif qui empêchait absolument toute sorte d'écoute. Il prit son portable et appela le numéro.

Monica a remué ses doigts, très bien j'arrive.

La chirurgie estétique que la cia lui avait fait pour son dernier job avait fonctionner et était parfaite pour une fois.

Arrive au Liberty Spirit histoire de se rafraichir un peu

Bonjour... Un diabolo grenadine s'il vous plait.

S'installe à un table dans un coin tranquille

Nate gara sa préciseuse porsche sur le parking du bar. C'était toujours un vrai plaisir de la conduire. Il descendit de la voiture et prit bien le soin de vérifier qu'il l'avait fermé avant de s'éloigner. On ne savait jamais avec les temps qui couraient...

Sa cible était le bar. Il devait y avoir du monde au bar avec qui pouvoir échanger les nouvelles. Il devait y avoir quelqu'un qui savait quelque chose. C'était obligé... sinon ce n'aurait presque aucun sens. Il sortit son paquet de clope de sa poche pour en extraire une cigarette alors qu'il partait vers le Liberty Spirit. Puis il réalisa qu'il n'avait pas pris son briquet. *Et m*rde...*
Puis il vit un type devant le bar en train de fumer une clope. Il se dirigea vers lui.

Bonsoir, excusez moi vous pouvez me dépanner ? je n'ai pas de feu...