Voyage de yannick et Temikat au perdukistan

Yannick regarda autour de lui, cet aéroport tout juste réhabilité par les forces américaines sous contrôle de l'ONU, tous ces hommes en armes cachait pour l'instant la réalité d'un pays qui avait besoin de se retrouver pour se recontsruire et la réunion du jour aller être crucial pour le futur.

Il sentit Temikat s'accrocher à son bras. Il se montra ferme pour elle et l'accompagna vers le Hummee qui les attendait souriant aux rares journalistes présents.

Une fois installés le véhicule sous bonne garde prit la direction de l'ex palais du dictateur.

Yannick regarda le paysage et la misère qui s'étalaient sous ses yeux, et compris qu'aujourd'hui, ici il y aurait tout à faire et que les changements devaient se faire avec des gens comme Temikat.

Il tourna son visage vers elle. Il va te falloir beaucoup de travail pour redonner espoir jusq'au personnes les plus reculées, mais si tu as besoin je serais là avec toi.

Yannick rentra dans la salle avec à son bras Temikat.
Divers intellectuel du pays la reconnaissant se mirent à applaudir suivi bientôt par toute l'assemblée.

Elle était unaniment reconnue pour son action qui avait été décisive pour la libération de ce pays d'un joug particulièrement adieu mis en place par l'ancien dictateur.

Il se dirigèrent vers leurs places respectives à l'assemblée.

La réunion fut ouverte par le colonel O'Brien de l'armée des Etauts-Unis représentant officiellement l'ONU qui dressa un état des lieux actuels. plus aucune resistance n'étais à redouter de la part des sympathisants de l'ancien régime et une aire nouvelle devait s'ouvrir via les personnes de bonnes volonté de ce pays en particulier par Temikat.

Il lui passa la parole et s'assis tout en lançant une nouvelle salve d'applaudissement auquel se joignit Yannick. Juste avant qu'elle se lève il lui glissa à l'oreille.

Temikat tu es l'incarnation de la liberté pour ce pays ne l'oublie pas ils comptent sur toi.

Yannick fixa Temikat durant tout son discours et resta admiratif devant cette aisance dont elle faisait preuve dans un moment crucial qui allait engager son pays sur la voix de l'ouverture et du réveil. Elle parlait avec force, conviction on sentait chacun de ses mots avait été identifié pesé et donné pour un impact maximal et quand elle se rassit à la fin de son dicours, ce fut debout que les gens l'applaudirent en scandant son nom. Yannick ne put que se joindre à eux. Certains même allèrent à lui crier : vive la présidente !!

Yannick baissa les yeux et vit Temikat perdue loin dans ses pensées. Il s'assit à côté d'elle et lui prit la main.

Temikat se fut un magnifique discours. Je ne sais qu'elle sera ton choix pour ton avenir mais sache que quel qu'il soit tu auras mon appui.

Le temps des discours s'annonca et chacun il allat de sa litanie proverbeuse pour le Perdukistan. Puis on passa la parole à Yannick en tant que premier investisseur étranger.

Medamse et Messieurs les délégués, et peuple du Perdukistan. Plus aux étrangers que nous sommes c'est à vous que je tiens à m'adresser. A vous dans chacun des foyers.

Le régime que vous avez vécu laisse un pays exangue abîmé et meurtri pas seulement dans son paysage mais aussi au coeur de chacun d'entre vous dans vos chaires et dans vos familles.

Le future apportera un équilibre par les voies qui s'ouvrent devant vous par des gens comme vous. Nous la communeauté internationale nous npus devont d'être passif après ce coup de pouce. Vous êtes souverain chez vous et cela nous ne l'oublierons pas.

Le groupe AoL, en mon nom, ce jour, se propose de reprendre avec vous les rênes de votre destinée en vous aidant à extraire la mane pétrolifères. Car vous avez ici à vos pieds les moyens d'être riches. Le Groupe AoL via sa filiale Oil AoL ne se propose pas de vous amener ici tout fait les moyens de réussir. C'est avec les Perdukistanais que nous allons faire émerger votre richesse, parce que chacun d'entre vous doit se sentir prêt à remonter ses manches pour s'offrir un lendemain.

Alors, voilà aujourd'hui devant vous je fais la première offre d'investissement étranger et j'en appelle à ceux qui m'entendent là-bas dans leur tours d'ivoire d'oser et de venir vous rencontrer. Pour ma part cela a été possible grâce à être d'exception que le destin m'a fait rencontrer : Temikat Tura que nombre d'entre vous connaissent. Merci à elle pour tout ce qu'elle m'a permis de voir et vive le Perdukistan !

Il se rassit et se tourna vers Temikat et lui fit un grand sourire car il était aujourd'hui grâce à elle.

Yannick accepta l'invitation de Temikat. Il avait envie de gouter à la couleur locale. Effectuer une immersion complète dans ce pays qu'il ne connaissait pas ou que par ouie dire.

Allons-y Temikat en espérant que tu retrouveras ce que tu recherche. je veux en savoir plus sur ton pays. Et pas uniquement ce que contient son sous sol. un pays et bien plus qu'un ensemble de matières premières.

Ils s'assirent dans une des voitures mises à leur disposition par l'ONU et Temikat indiqua le chemin au chauffeur.

Alors là.... pour les produits que l'on trouve partout ailleurs non merci... mais de l'ivricha je suis preneur. Quitte à profiter de ton pays autant que je goûte à ses productions je toruve cela plus enrichissant. puis si je suis appelé à y revenir autant que je ne paraisse pas inculte.

Alors dis moi tous ces diablotins ou démons font partis du folklore imaginaire du Perdukistan. Un étrange mariage entre le religieux et la croyance populaire...ce bar. J'aime... Il n'y a pas de doute. Et toi Temikat dans toute cette vague de révolution en marche comment te situes-tu?

Elle se tourna vers la serveuse:

-мы хотели бы, два стакана ivricha, если хотите. Можете ли вы дать ему сильнее вашей бутылке. Она должна быть холодной в нашей стране. Какой стала Tituana?

-Я не знаю, я ничего не видят в этом, поскольку за две недели!

Puis celle -ci alla chercher la commande!

-Je lui demandait si elle savait ce qu'était devenue l'ancienne serveuse mais apparemment, elle ne sait pas du tout!
Ces diablotins sont des etres de la forêt. Plus au sud, dans la région un peu plus desertique, il y a des êtres imaginaires en forme de serpents. On dit que ces deux classes de monstres se disputaient le pays à une époque imaginaire où le pays était homogène, une sorte de steppe... Les serpents voulaient en faire un désert pour tuer l'homme et les diablotins en faire un endroit prolifique pour l'homme mais tout en le hantant et en le pervertissant. Un jour le ciel fatigué de leurs baguarres sépara le pays en deux zones: le nord luxuriant mais perverti et le sud desertique. dans cette deuxième zone géographique les gens ont plus de mal à vivre mais leur coeur reste pur...

La jeune serveuse apporta les verres.

A la tienne!!!

Je ne sais plus quelle est ma place dans tout ça. Quand c'était la guerre, je le savais encore à peu pres. maintenant je suis partagée entre deux vies. Je pense que beaucoup espère que je me présente mais j'ai quelques jours encore pour réflechir...

Elle entendit un air connu de chez elle et décida d'entrer en piste pour une petite demonstartion de danse traditionnelle. Elle fut bientot rejointe par des clients du bar et elle finit par faire signe à Yannick de venir...

A la Tienne Temikat !

Et j'espère que tu trouveras en toi la voie qui te méneras là où ton destin t'attend. Que se soit ici auprès de ton peuple où ailleurs où tu seras toujours la bienvenue.

Temikat se leva aux premières notes du musique traditionnelle. Elle se mit à danser rejointe bientôt par quasiment toutes les personnes assises dans le bar. Elle fit signe à Yannick de la rejoindre. Il ne sait pas quoi en penser. Elle était si radieuse en ce jour si innocente!

Il prit le pari de s'amuser ce n'est pas tous les jours qu'un marché de plusieurs milliards se finit dans un pub perdukistanais.

L'un dans l'autre Temikat faut bien avoué ne me dérange pas. Allez Hop !

Et Yannick se projetta au milieu de la piste de danse effectuant lui aussi quelques mouvements qui pourraient apparaitre comme anachronique mais bon.. l'essentiel étant de danser. Ainsi projetta-t-il son corps en arrière pour se recevoir sur les mains puis une seule avant de se reprojetter afin de se récupérer sur les pieds. Puis il s'accoupit en un saut avant de rebondir dans la position debout. Il croisa les bras d'un signe identique de défi à l'homme le visage souriant.

Soudain il y eu un crépitement d'enfer des personnes tombèrent sur le sol, Yannick se projetta au sol protégeant Temikat le mieux qu'il put. Il avait reconnu le bruit caractéristique du AK-47 arme favorite des armées de l'Est et des terroristes. Plusieurs corps sans vie jonchaient le sol autour d'eux, les vitres avaient volées en éclats et les morceaux de verre tombaient sur eux en milliers de petits dards. Yannick tout en protégeant Temikat de son corps apputa sur le signal de détresse de son téléphone en espérant que Tenresky ne soit pas loin des écrans de contrôle quand il vit arriver devant eux une grande dégoupillée....

Yannick perçut des bruits lointain et sentit une présence à côté de lui. Son esprit embrouillé l'assimila tout de même à Temikat, qui l'embrassa sur le front lui parlait. Il avait envie de lui répondre mais il ne pouvait pas. il était comme dans du coton.

Puis finallement une douleur au bras se fit sentir il tourna la tête et ferma les yeux....

Quand il les rouvrit il se sentait tou vaseux et avait mal partout. Il regarda autour de lui. Une chambre d'hôpital.

Temikat où es-tu? Tu m'entends?

Elle était là à côté de lui. Elle l'embrassa doucement sur le front et il sentit ses mains sur son torse. En d'autres temps d'autres lieux... puis l'image de Sam lui apparut. Seul dans la grande villa avec son pied dans le plâtre. Il rendit le baiser à Temikat.

Comment vas-tu mon héroïne car sans toi... je crois que jamais je ne m'en serais tirer ce coup-ci.

Ses yeux partirent dans le vide. Ce qu'il venait de vivre tous les deux avait créé un lien plus fort que tout et Yannick en était perturbé. Il laissa gambader sa pensée ne la retenant pas mais l'orientant pas accoups. La vie n'était pas un long fleuve tranquille et réservait bien des surprises.

Puis une nouvelle torpeur l'envahit. Il prit la main de Temikat entre les siennes avant de fermer les yeux. Puis ses lèvres marmonnèrent quelque chose d'incompréhensible

SSssssss........

Yannick, c'est plutot toi, tu m'as sauvé la vie une deuxième fois dans ce bar.

Elle se pencha pour entendre ce qu'il disait.

*Ah mais il dort!!!*

Sa main était dans les siennes. Elles étaient chaudes.

*Il dort, il ne sentira même pas que je....*

Elle approcha ses lèvres de la bouche, le frolant à peine... mis sa main contre son cou.
Elle avait une espèce de facination pour cet homme. Elle le désirait tellement...