Villa "LEILANI" : Terres de Sam et Yannick

On avait prévenu Yannick de l'arrivée de Temikat. Il se rendit donc dans le petit salon où on l'avait fait entrer.

Bonjour Temikat! Quelle forme resplendissante ! Et il lui fit la bises

Je dois dire que tout va bien en ce moment: le centre, l'association qui a déja permis de faire beaucoup de choses pour les enfants et les haras! Maintenant de savoir que nous allons pouvoir reconstruire le perdukistan, ça m'enchante!
J'ai appris que votre femme s'était blessée. J'espère qu'elle récupère bien!!!

Bon treve de blabla, je ne peux pas rater cette réunion et vous non plus d'ailleurs, sauf si vous avez quelque chose de plus impératif. Pour les noms à la direction, nous en parlerons dans l'avion...

Bon j'ai des bagages afrêtés je vous suis Temikat, le temps de laisser un mot à Sam.

Il écrit rapidement une note à Sam qu'il alla glisser à côté d'elle et lui déposa un baiser. Elle dormait sous l'effet des médicaments pris.... Elle était belle. Mais il s'arracha au rêve pour rejoindre la réalité et Temikat.

Pour Sam je ne m'inquiète pas c'est une nature forte. Il faudra juste prendre son mal en patience... elle comme moi !

La voiture se présenta devant le portail de Leilani. Apres quelques secondes, elle s'engagea sur le chemin qui menait jusqu'à la villa. Au travers de la série d'arbres qui se trouvait dans le parc, leilani s'élevait fiere et voluptueuse. Mr Weiss tourna sur le gravier devant l'entrée principale. Temikat remarqua la présence de la moto de Sam...

-Yannick, je te laisse régler tes problèmes. Ma présence ici est parfaitement inutile sauf, évidemment, si on veut mettre de l'huile sur le feu. Je ne maitrise pas ce genre de combat et je ne souhaite pas narguer Sam. Elle ne mérite pas ça.

Juanita enchaina en mettant les pieds dans le plat:

-Oui, enfin tu n'as pas refusée de la faire cocue. C'est facile de vouloir du bien des gens mais c'est encore plus facile de se faire plaisir à soi avant de penser aux sentiments des autres. Moi par exemple, je pense souvent aux propriétaires des habitations que je cambriole mais c'est pas pour ça que je...

Temikat lui lança un regard courrouçé.

-Bon Mr Weiss, ramenez moi quartier est s'il vous plait. J'ai encore beaucoup de choses à régler avant de repartir. Yannick, je t'envoie le nom de celui que je te recommande pour le centre de biodiversité...

Juanita examina tous les recoins de la maisonnée par la vitre...

*Intéressante batisse*

Mr WEISS ne broncha pas à l'injonction de Temikat. Yannick descendit de la voiture s'appretant au pire.. mais bon même si Sam était impulsive il la savait aussi résonné.

Il embrassa Temikat et lui souhaita bon courage... Observant Juanita : Ne te fais pas d'illusion jeune fille sur l'accès aux richesses potentielles de cette propriété...

Puis il pénétra dans sa maison. une drôle d'odeur planait dans l'air... une masse curieuse se trouvait dans la cheminée... Yannick commença à envisager le pire d'autant qu'il identifié pas l'origine du produit qui avait brûler. Puis il monta doucement dans sa chambre... et la vue de son dressing devasté lui fit montre la mayonnaise. Sam gisait sur le lit reniflant l'alcool à 15km.

Il s'approcha d'elle prêt à la secouer, puis finallement il abandonna l'idée la couvrit d'un drap vérifia qu'elle avait pas vomi. Il resta un instan à ces côté. il n'arrivait à oublier ce qu'ils avaient vécu ensemble aussi facilement. Mais son coeur sans aucun doute appartenait maintenant à temikat. Il ui pardonna ce qu'elle avait fait sans aucun problème car il pouvait comprendre son mécontentenement. il lui faudrait s'expliquer auprès d'elle très prochainement de vive voix. Il lui laissa un mot signifiant son retour sur Paradize et son besoin d'explication avec elle. Puis il sortit de la maison se dirigea vers le garage...

Il monta dans sa Viper et démarra direction la maison de Temikat... demain il lui faudrait acheter des nouveaux vêtements.

UN message simple écrit d'une autre main se trouvait sur la porte d'entrée de la villa.

Citation :

SAM tu garderas la jouissance intégrale de mes biens. Ne cherche plus à me joindre. Je suis un homme qui s'est perdu un jour ailleurs...

UNe procuration a été faite et te voilà ce jour à la tête d'AoL en gestion pour les 90 jours à venir et pour toujours si je devais ne pas revenir.

Je n'ai pas souhaité fuit les explications j'aurai préféré que nous nous battions nous déchirions, mais je n'ai rien à dire car je ne sais pas moi même. Adieu donc et puisse la vie te rendre de nouveau heureuse comme tu le mérites et comme du temps où ous nous sommes aimés.

Yannick qui t'aime.

Janah se gara devant l'immense grille de la villa. Elle sonna.

Personne ne répondit, pas même Mr Weiss, elle fut trés étonnée.
Elle pris son portable, voulant appelé Yannick. Aucune possibilité de le joindre, ses lignes étaient coupées.

Mais que se passe-t-il ?

Elle essaya de voir la villa à travers la grille, mais l'allée était tellement grande, qu'on n'appercevait qu'un mur.

Elle laissa un mot qu'elle glissa dans la boite au lettre.

Citation :

Yannick, je suis passée pour les travaux, je n'ai pas pu entrer dans la villa. Peux tu me rappeler et me dire ce qu'il en est.

Cordialement Janah.

Elle passa devant la villa de Yannick. Elle fut attristé. Cette si belle maison paraissait sans vie. Les travaux étaient interrompus car pas de nouvelles de Yannick.

Aucune réponse au mot qu'elle lui avait laissé. Aucun moyen de le joindre.

*Il se passe des choses vraiment très bizarres dans sa vie.*

Elle ne s'arrêta pas et continua sa route jusqu'au centre.

Après avoir déposé Cylia chez elle est s'être exprimé auprès d'elle il rentra dans sa demeure. Sam avait fini de retourner la maison sans pour autant toucher aux décorations et aménagements effectués par Janah. Il traina dans sa maison.. et alla s'allonger sur son lit.

Mais la maison était trop calme.

Il revêti donc un vieux tee-shirt un panatlon de treillis un paire de vans un vieux pull gris souris trop large et sauta dans sa corvette direction le bar. Nous étions samedi, il y aurait peut-être du monde....

Il se gara devant chez lui et se dirigea vers sa terrasse surplombant la mer. Il s'allongea dans une des chaises hamac se couvrit d'une couverture et sombra dans un sommeil sans rêve. Finallement la ville avait fini par ressembler à la mer. Hostile et vide. Son téléphone était resté muet.

Yannick s'était remis d'arrache pied au travail. Il y engloutissait ses journées. Il s'était remis au travail sur le projet perdukistanais. L'extraction et l'acheminement du pétrole. Il fallait revoir le système depuis le départ. Après maintes conseils d'expert il y aurait également au perdukistan un raffinerie qui serait monté. Elle y produirait des essences volatiles pour 45% et des dérivés lourds pour 55%. Notamment le mazout nécessaire au ravitaillement des navires.

Il n'avait toujours pas eu de nouvelles. Que ce soit de Sam... mais cela il pouvait comprendre ou de Temikat. A l'envoi de son dossier, vers le gouvernement nouvellement constitué, il apprit qu'elle se trouvait sur Paradize. Mais peut-être avait-elle décidé de l'éviter.

Il laissa plutôt un meassage à Arméline et Nate. L'écurie de course automobile où en était-elle? Monica son expert comptable? Trop de gens qu'il avait négligé. Il se promis de les appeler sur la journée.

Les journées de travail s'enchaînaient à un rythme ahurissant. Yannick en avait le tourni surtout après sa récente sortie d'une aventure "humaine" assez rocambolesque.

Il se décida ce matin là à se rendre chez Temikat enfin plus exactement au harras qui serait certainement l'endroit le plus neutre pour tous les deux.

Il s'habilla après sa douche avala un simple café et se dirigea vers le garage. Il regarda cette marée de véhicules divers et fini par s'orienter vers les lignes sobres d'une d'une Jaguar XK8. Il démarra et fila au harras.

La journée s'annonçait radieuse. le soleil avait point sur Paradize et avec lui des températures de printemps au coeur de l'hiver.... un coup du réchauffement climatique.

Le Hummer fila direction le parking de la maison de Yannick. Il reçut durant tout le trajet un certain nombre de message... Il fronça les sourcils.

La voiture s'immobilisa au fond du garage dans une niche.

Yannick se retourna vers Temikat.

es-tu prêtes à m'accompagner et à mettre le doigt dans l'inconnu ou désires-tu retourner sans rien savoir à ta vie de Présidente de Perdukistan?

Situation cocasse je l'avoue Temikat. Avant toutes choses descendons du Hummer et passe ton appel j'avoue qu'une confrontation ici est loin de ma plaire. Quand à l'aventure nous verons ce que nous réserve le futur...

Il descendit de la voiture et lui ouvrit la porte. Elle pasa un rapide appel à son service de sécurité.

Ils remontèrent dans la voiture et le sol s'enfonça.

Ils plongèrent pendant quelques instants dans les profondeurs passèrent 4 ou 5 pailers et le monte charge s'arrêta. La voiture rédémarra et s'arrêta qq instants après sur un parking où se trouvait divers véhicules blindés de tous types.

Yannick sauta de la voiture et aida Temikat à en descendre. Le hangar s'étalait en un long couloir et des hommes armés travaillaient sur les véhicules.

Il lui prit la main.

Tu es ici dans l'antre du secret, ma douce. Tu voulais de l'aventure du secret ici tu es en plein coeur de mon organisation.

Ils marchèrent et franchirent une porte et atterirent dans une grande salle de commandement. Deux hommes s'y tenaient deux anciens militaires dont un parlait avec un fort accent russe. ils samuèrent Yannick de façon martiale. Yannick passa la salle avec Temikat et s'enferma dans un autre bureau. Il donna un fauteuil confortable à Temikat et s'assit à son tour.

Je crois que nous devons parlé encore plus sérieusement que jamais tous les deux.

Temikat s'empara de son téléphone...

Citation :

Oui, c'est moi, arrêtez de brailler, oui je vais bien...

Non je compte revenir plus tard, je ne peux pas pour l'instant...
non je ne peux rien dire... Inventez ce que vous voulez pour calmer l'opposition.

Que je suis malade... que j'ai une inflamation de l'appendice, tout ce que vous voudrez....

Mon vice président est là pour assurer l'interim pendant mon absence que je sache...

Non il n'en ai pas question, je suis parfaitement protégée ici...
C'est ça, menacez moi de destitution si ça vous chante! je vous demande quelques jours...

Arrêtez... vous savez aussi bien que moi le niveau de protection autour de Mr le Clea'ch de Villepierre...

Non je ne peux pas vous permettre d'entrer... c'est ça rester en veille devant la villa...

Au revoir!

Elle raccrocha. L'affaire avait été dure à mener. Elle entra dans la voiture et le sol s'enfonça sous elle.
yannick l'emmena dans les tréfonds de son lieu de commandement. Ils passèrent devant des militaires, dont au moins un avait fait partie de l'armée russe un jour.

*Il semblerait que le russe soit omniprésent dans les groupuscules armés de ce côté du globe... Je ne suis pas sûre d'aimer ça!*

Ils s'isolèrent dans un bureau...

Et maintenant? Que va être la mauvaise surprise?

La curiosité de Temikat était à son comble!

Yannick tournait en rond comme s'il ne savait pas par quel bout commencer... Temikat s'approcha de lui. Elle le trouvait soucieux...

Peut être qu'en lui montrant les arguments, ça lui permettra de mieux se confier à moi.

Elle était attirée par lui comme au premier jour. Elle s'approcha au plus près et lui donna le baiser qu'elle avait écourté au parc. S'appuyant sur lui, elle l'obligea à s'asseoir sur la table, engloba sa tête de ses bras et laissa glisser sa main tout contre lui...

Etant sûre maintenant qu'il la désirait... elle lui caressa le visage et approcha sa bouche de son oreille:

-Tu es content j'espère, je suis en train de retomber entre tes griffes... Maintenant, soit tu me racontes ce que tu as de si important à me dire et tu éclaircis cette situation étrange, soit... je n'ai rien à faire ici que de profiter de ce que tu m'offres d'un point de vue diplomatique ou non.

Oui je suis satisfait que tu sois revenu ma douce Amazone. ta présence m'a manqué et puisque tu es là ton corps aussi...

Ils mirent à profit cette chaleur qui se dégageait d'eux pour consumer leur passion. Une fois qu'elle les laissa tous les deux vidé de toute énergie ils s'habillèrent et se dirigèrent vers les ordinateurs de Yannick. Plusieurs comptes-rendus portait notion d'un incident dans une des société sous-terraines.

Yannick fronça les sourcils. plusieurs articles étaient écrits en oualof. Finallement il se détendit et laissa un sourire éclairé son visage.
Il semblerait que l'alerte soit levée. Je ne sais jusqu'où nous devirons aller Temikat. Tous les deux j'ai une idée mais tous ses projets... Je me demande si je n'ai pas été trop loin....Je ne suis pas Dieu.

Tu es la première à qui je pourrais me confier. Si tu l'acceptes bien sur...

Viens t'asseoir à côté de moi et parlons carte sur table de tout ce qui doit nous préoccuper et accordons nous un véritable temps. Ici pas de guerre pas de mer pas de pays juste un lieu isolé entre enfer et paradis afin que nous puissions décider de ce que nous serons après avoir été.

Ils prirent un temps ensemble pour parler sérieusement puis se séparèrent afin que les sbires de Temikat ne viennent pas investir la propriété ce qui pourrait engendrer une crise bien plus grave que prévu.

Yannick regagne les hauteurs et s'endormis dans son salon. Le lendemain en se réveillant il avait un message de Sam qu'il décidé de rencontrer. Il s'habilla et prit congé de la sécurité rapprochée.