Yannick avait marché la tête perdue dans un nuage noir. L'accident l'avait troublé. Il avait été un signal d'alarme. il s'inquiétait du bonheur qu'il vivait en ce moment. Tout semblait lui réussir. Les affaires l'amour l'amitié, les situations à risques, puis il y avait eu les morts, cet accident. Une série noire allait-elle commençait. Il avait toujours voulu allez de l'avant sans regarder en arrière. Enfin ne pas regretter. Aider son prochain. Nelaisser personne sur le carreau alors qu'à lui la vie lui souriait. Ces pas l'avait amené dans le quertier le plus sinistre de Paradize City, le plus éloigné. Les barres d'immeubles se succédaient, les jeunes et les familles trainent dans les rues. Certains immeubles n'étaient même plus habitables, des fenêtres et des portes avaient été muré, et ces murs avaient été cassé pour laisser entrée une foule de personnes qui ne savaient pas où vivre. Au coin de la rue, Yannick se cogna contre un homme d'un quarantaine d'années. Appuyé contre un mur il était entrain de refilé un sachet à un gamin... le sachet semblait plein d'une poudre rosée... Il comprit de suite de quoi il s'agissait. A l'approche de Yannick l'homme glissa sa main dans sa poche et le gamin disparu dans les dédales de rues derrière eux. Yannick ne put s'empêcher de détailler l'homme de la tête aux pieds. Celui-ci retourna le regard et agita sa main dans sa poche faisant saillir une forme oblongue qu'il identifia de suite comme étant une arme. Il baissa la tête et passa devant l'homme... Il le dépassa et ne put se retenir... D'une brusque détente de son corps en rotation arrière gauche ses deux pieds vinrent frapper l'homme en plein visage. Il heurta avec violence le mur derrière lui et s'écroula à terre. Yannick retomba sur ses pieds. Personne n'avait prêté attention. il tira le corps derrière une poubelle et récupéra les sachest et gellules que le type avait sur lui et se mit en devoir de tout écraser et jeter au vent. Il finit par remmettre ses poings dans ses poches et repartit tête baissée.
Il fila jusqu'à la périphérie du quartier et fila vers les docs, sur le port. Là aussi une autre misère sévissait.